• Aujourd'hui, nous sommes allés au musée L'Arche des Cimes de Ristolas. Nous avons été accueillis par Jeanine et avons tout d'abord visionné un court métrage de 9 minutes. Ce dernier nous montrait que les hommes polluent la nature et qu'au lieu de faire ceux qui ne voient rien, nous devrions la protéger. Nous avons appris qu'il y avait beaucoup d'espèces endémiques (qui ne vivent qu'à un seul endroit) comme par exemple la Salamandre de Lanza qui vit autour du Mont Viso. Les animaux naturalisés sont la spécialité du musée. Il s'agit d'animaux tués accidentellement ou morts de vieillesse. Après avoir tiré leurs dents, leurs yeux et les avoir vidés de leur chair, on les remplit de mousse puis on remplace leurs yeux par des yeux de verre. Ils sont exposés en spirale dans l'ordre croissant de  leur taille: le cerf, le sanglier, le bouquetin, le mouflon, le chamois, le lièvre variable, le blaireau et bien d'autres encore! 

    Le travail de Jeanine consiste à sensibiliser les personnes à la nature. Celui de Nicolas, "policier" de la montagne que l'on a eu la chance de croiser, est de surveiller les animaux, la taille des meutes et sanctionner les abus et infractions à l'intérieur du parc naturel du Queyras. 

    Dans la deuxième partie de la visite, nous avons regardé et travaillé sur différents modules. L'un d'entre eux nous expliquait qu'il fallait une certaine agitation de l'eau ainsi qu'une certaine température pour que les larves se développent. Un autre nous montrait l'importance du climat et des glaciers sur le développement des fleurs de montagne. 

    Nous avons trouvé ce musée très intéressant et amusant avec tous ces petits ateliers. 

     Rémi, Ethan, Lucas et Romain


  • Dimanche soir, un moniteur de ski surnommé Mitch est venu nous présenter son second métier : berger. Il nous a expliqué qu’avant les brebis mettaient 3 semaines pour monter jusqu’aux alpages au moment de la fonte des neiges. De nos jours, elles sont montées en camion. Un troupeau de brebis peut compter entre 1 000 et 3 000 bêtes. Il faut avoir un excellent chien pour mener le troupeau ainsi que quelques brebis apprivoisées. Le soir,  le berger dépose du sel sur les rochers, les brebis en sont très friandes et cela leur donne un poil soyeux. Afin d’avoir un bon aperçu de la composition du troupeau et des brebis égarées, chaque troupeau comporte environ 40 brebis noires. Ainsi, s’il en manque une, on peut facilement supposer qu’elle soit  partie avec une cinquantaine de blanches. Pour compter plus précisément ses bêtes, le berger les rassemble, les fait passer dans un couloir étroit et utilise des cailloux. Un caillou pour 50 brebis. Plus simple pour s’y retrouver ! Enfin, le berger passe plusieurs mois isolé, dans une cabane sans électricité mais avec un paysage magnifique devant les yeux ! Le troupeau progresse au fur et à mesure de la fonte des neiges.

              Berger...un sacré métier!              Berger...un sacré métier!


  • Cet après-midi  nous avons fait du "Land Art" dans la neige, c'était vraiment bien! Il fallait faire le plus beau chalet avec des éléments naturels comme les pommes de pin, les branches, les feuilles ... L'équipe gagnante a remporté des friandises, hummm! Félicitations à tous et surtout aux vainqueurs Lou-Anne, Evan, Noémie, Flavie, Méline et Matéo!

     

    Lou-Anne, Méline et Flavie 

    Artistes en neige !                   Artistes en neige !    

     

     

     

                     Artistes en neige !                    Artistes en neige !

     

    Artistes en neige !                  Artistes en neige !


  • Le vendredi 3 février nous avons visité le musée du Soum à Saint Véran

    Le musée du Soum

    Cette maison est la plus vieille du village. En effet, elle date de 1641. Soum veut dire "le bout du village".

    Elle est construite en pierre et en bois de mélèze. La maison contenait différentes pièces: le hall, la pièce centrale, les chambres, une étable, la cuisine, les fustes et les balcons. La pièce principale était occupée à la fois par les habitants et par les bêtes (qui servaient de chauffage). On y trouvait aussi des toilettes pour l'hiver (chaise percée), une grande table à manger, un rouet, l'ancêtre du trotteur, une table en bois dans laquelle des bols sont creusés pour que les enfants apprennent à manger sans renverser ! 

    Pour la chaleur, la maison est orientée vers le sud. Elle était éloignée des autres maisons pour éviter la propagation en cas d'incendie.

    Les animaux qui vivaient dans la pièce centrale et permettaient de se chauffer (mais pas que !) étaient : les vaches (qui donnaient du lait), l'âne (pour transporter les marchandises), les poules (pour les oeufs) et une chèvre (pour le lait aussi). Les moutons étaient dans l'étable car ils ne chauffent pas beaucoup la pièce et leur odeur est acide.

    Les chambres servaient surtout à stocker les vêtements, les coffres sculptés, le lit et plus tard on y a ajouté un poêle. 

    Dans la maison il y avait aussi une scierie pour couper les troncs de mélèze. Pour confectionner une planche il fallait 4 heures de travail (car il n'y avait pas de machine). On utilisait le mélèze car c'est un bois local et il est imputrescible (il ne pourrit pas).

    Les fustes sont les balcons exposés plein sud qui servaient à sécher le foin.

    Matéo, Timéo et Elisa.


  • En attendant le bus !

    Aujourd'hui, le bus qui devait nous emmener aux pieds des pistes n'est pas passé !!!

    Ce qui nous a permis de bien nous amuser sur le tapis de 30 cm de neige tombé cette nuit et ce matin !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    En attendant le bus !

     

     

     

    En attendant le bus !

    En attendant le bus ! 

                                                                                                                                  En attendant le bus !

     

     

     

     

     

     

     

     





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